Chaque disque du clarinettiste de jazz Louis Sclavis envoûte. Frontières, le dernier, pérennise la coutume. Sans doute parce que l’on a encore envie de fredonner ces chansons sans paroles, comme autant de narrations (18 en tout), autant de refrains, autant de ritournelles. On reconnaît un disque de Sclavis à ceci : le collier de mélodies, le jaillissement d’histoires, la dramaturgie ininterrompue. Au départ, le musicien avait composé la plupart des airs pour des films, des documentaires
Via: Louis Sclavis dans les grands airs
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